L'arôme de poire dans le vin d'Yamanashi-ken
Découvrez les vins d'Yamanashi-ken révélant l'arôme de poire lors de l'analyse olphactive (au nez) et lors de l'analyse gustative (en bouche).
Yamanashi est la première indication géographique (IG) Japonaise pour le vin. Créée en 2013, elle est située dans la préfecture du même nom. Yamanashi est présenté comme le berceau de la production de vin au Japon. Les principaux Cépages cultivés ici sont le cépage blanc indigène vitis vinefera Koshu et l'Hybride rouge pâle Muscat Bailey A, sélectionné au Japon.
Ce dernier donne des vins rouges Doux et fruités, tandis que les vins blancs secs Koshu ont tendance à être secs, croquants et citronnés. On pense que le Koshu est cultivé dans la préfecture de Yamanashi depuis un millier d'années ou plus. Les études génétiques du raisin tendent à le confirmer. Parmi les 40 autres variétés autorisées, le cabernet Sauvignon et le Chardonnay sont les plus en vue.
En 2018, on compte environ 80 établissements vinicoles. Près de la moitié d'entre elles sont situées autour de Koshu City. Les 670 hectares de vignobles de Yamanashi produisent environ 40 % de la production totale de vin de raisin du Japon. L'industrie du vin sous sa forme moderne remonte aux années 1870 à Yamanashi.
Connu pour ses rosés de Provence, Château Cavalier, un des fleurons des propriétés de la famille Castel, fait évoluer son vignoble et étoffe sa gamme avec un vin d’auteur baptisé Grand Blanc de Château Cavalier. Un vin raffiné, fruité et minéral. Si ce Grand Blanc de Château Cavalier est parfait à boire dès maintenant, il pourra aussi aisément patienter encore deux ou trois ans. Ass ...
Dans un chai de la maison Tessendier, à Jarnac. TESSENDIER Jérôme Tessendier, c’est la personne qu’il faut inviter à dîner. Il « arrive toujours », affirme-t-il, avec une bouteille de cognac, une de whisky et une autre de rhum. Il peut se le permettre. Jérôme, 55 ans, est à la tête, avec son frère, Lilian, de trois ans son aîné, de la distillerie Tessendier qui produit ces trois alcools dans des gammes très fournies, mais aussi des vodkas, des gins, du pineau, des liqueurs (poire, plantes…), etc ...
Après l’été, ses salades, ses barbecues et ses rencontres sous les tonnelles, place aux journées plus frisquettes, aux nuits qui tombent plus tôt et au besoin de chaleur, y compris humaine. L’automne venu – et ce sera amplifié pendant l’hiver –, les assiettes sont plus consistantes. Histoire de se donner autant l’énergie que le moral. Des entrées et jusqu’aux desserts, il y en a pour tous les go&ucir ...