L'arôme de sirop d'érable dans le vin de Racha-Lechkhumi
Découvrez les vins de Racha-Lechkhumi révélant l'arôme de sirop d'érable lors de l'analyse olphactive (au nez) et lors de l'analyse gustative (en bouche).
La région viticole du Racha-Lechkhumi en Georgie. Les caves et vignobles comme le Domaine Khareba et le Domaine Marani y produisent principalement des vins rouge et blanc. Les cépages les plus plantés dans la région du Racha-Lechkhumi sont les Saperavi et Goruli mtsvane, ils sont alors utilisés dans les vins en assemblages ou en mono-cépage. Au nez du Racha-Lechkhumi révèle souvent des types d'arômes de fruits (d'arbre fruitier), sous-bois ou fruits rouges et parfois aussi des arômes de végétal, fruits tropicaux ou évolution (vieillissement).
Nous dénombrons actuellement 38 domaines et châteaux dans la région du Racha-Lechkhumi, produisant 45 vins différents en agriculture conventionnelle, bio et biodynamique. Les vins du Racha-Lechkhumi s'accordent généralement assez bien avec des plats .
MARíA MEDEM POUR M LE MAGAZINE DU MONDE Auvergne-Rhône-Alpes Odessa comptoir, Lyon (1er) C’est l’internationale des vins nature, en pleine capitale des Gaules. L’Américain David Schayne s’y est associé avec deux frangins lyonnais rencontrés à Buenos Aires, dont la grand-mère ukrainienne a inspiré le nom du lieu. Dans les assiettes, on mélange les influences, aussi bien japonaises que méditerranéennes, mais toujours avec délicatesse. Et, quand la joyeuse bande se pique de vinifier, elle opte pour ...
MARíA MEDEM POUR M LE MAGAZINE DU MONDE Auvergne-Rhône-Alpes Odessa comptoir, Lyon (1er) C’est l’internationale des vins nature, en pleine capitale des Gaules. L’Américain David Schayne s’y est associé avec deux frangins lyonnais rencontrés à Buenos Aires, dont la grand-mère ukrainienne a inspiré le nom du lieu. Dans les assiettes, on mélange les influences, aussi bien japonaises que méditerranéennes, mais toujours avec délicatesse. Et, quand la joyeuse bande se pique de vinifier, elle opte pour ...
Alexandre Sidorenko, dans son verger, à Sainte-Marie-du-Bois, en Mayenne, le 12 novembre 2021. FRéDéRIC REDON Casquette vissée sur la tête, quelle que soit la saison, et bottes au pied quand il est dans son verger, Alexandre Sidorenko, la quarantaine fraîche et robuste, n’est pas un producteur de cidre comme les autres. Les chemins de traverse, qu’il a allègrement parcourus, ont fini par le conduire à ce qui fait sens à sa vie aujourd’hui : le Domfrontais. Dans ce trou perdu de Normandie, où il ...