L'arôme de tamarin dans le vin de Samaria
Découvrez les vins de Samaria révélant l'arôme de tamarin lors de l'analyse olphactive (au nez) et lors de l'analyse gustative (en bouche).
La région viticole du Samaria en Israël. Les caves et vignobles comme le Domaine Tishbi et le Domaine Tura y produisent principalement des vins rouge, blanc et rosé. Les cépages les plus plantés dans la région du Samaria sont les Cabernet-Sauvignon, Merlot et Petit Verdot, ils sont alors utilisés dans les vins en assemblages ou en mono-cépage. Au nez du Samaria révèle souvent des types d'arômes d'agrume, poire ou fruits (d'arbre fruitier) et parfois aussi des arômes d'agrumes, fruits tropicaux ou fumée.
En bouche du Samaria est un vin puissant avec beaucoup de tanins présents en bouche. Nous dénombrons actuellement 20 domaines et châteaux dans la région du Samaria, produisant 116 vins différents en agriculture conventionnelle, bio et biodynamique. Les vins du Samaria s'accordent généralement assez bien avec des plats de boeuf, agneau ou gibier.
La célèbre maison cognaçaise Hennessy fait bouger les codes en s’associant au talentueux chef Xavier Pincemin dans un lieu très éphémère qui s’annonce comme l’un des incontournables de cette rentrée parisienne. Sa tête vous dit forcément quelque chose, du moins si vous êtes accro à Top Chef. Si, rappelez-vous, Xavier est le gagnant de l’édition 2016 au cours de laquelle il avait ébloui les jurés avec sa cuisine audacieuse et pleine de saveurs. Eh bien, l’homme a fait du chemin depuis cette pério ...
Livingstone. Un titre de roman et un nom de goéland pour ce tout premier bar à vin orange qui ouvre ce mercredi 23 juin en plein cœur de Marseille. C’est dans un quartier qui ne dort jamais, celui du cours Julien, qu’ouvre aujourd’hui ses portes un bar à vin peu ordinaire, entièrement tourné vers les vins oranges. A l’origine du projet, le fameux trio formé par le chef anglais Harry Cummins, l’entrepreneuse américaine Julia Mitton ...
Eliette Abécassis, à Paris, le 3 décembre 2024. ROBERTO FRANKENBERG POUR « LE MONDE » Normalienne, philosophe de formation, un temps enseignante, Eliette Abécassis vient de publier, à 55 ans, son vingt-cinquième roman, Divorce à la française (Grasset, 288 pages, 20,90 euros). Remarquée dès son premier ouvrage, en 1996, Qumran (Ramsay), un roman policier métaphysique, elle s’est beaucoup inspirée de sa famille juive dans son œuvre. Elle explore pour Le Monde sa relation au vin, en lien étroit ave ...