Vins issues du cépage Kerner de Californie
Découvrez les meilleurs vins élaborés avec le cépage Kerner en mono-cépage ou en assemblage de Californie
Croisement intraspécifique entre le frankenthal et le riesling obtenu en Allemagne en 1929 par August Karl Herold (1902/1973). En 1951 et en le croisant avec le sylvaner, on a obtenu le juwel. A noter qu'il existe une mutation du Kerner, découverte en 1974 et portant le nom de kernling, aux raisins de couleur gris rose à gris rouge à pleine maturité On peut rencontrer le Kerner en Allemagne, en Belgique, en Slovénie, en Autriche, en Suisse, en Italie, en Afrique du sud, en Australie, aux Etats unis, au Canada, au Japon... pratiquement inconnu en France sauf dans quelques vignes mosellanes. .
La Californie est la plus grande et la plus importante région viticole des États-Unis. Elle représente les deux tiers sud (850 miles ou 1370 kilomètres) de la côte ouest du pays. (L'Oregon et l'État de Washington constituent le reste. ) L'État s'étend également sur près de dix degrés de latitude.
Nous continuons notre tour d’horizon du vocabulaire du vin avec 5 nouveaux mots que vous maîtriserez bientôt à la perfection. Apprenez à exprimer avec clarté ce que vous percevez lors de la dégustation. Attaque Et cette dégustation, justement, se décline en plusieurs temps : l’attaque, le milieu de bouche et la finale. L’attaque est ce moment où l’on prend une première gorgée, tout en aspirant une petite quantité d’air. Soyez attentifs/ves car cela ne dure qu’une poignée de secondes. Les pr ...
Les vins effervescents « sans alcool » : quels goûts ont-ils ? De plus en plus de domaines viticoles tentent l’expérience de désalcooliser une partie de leur production. Les boutiques spécialisées dans les vins désalcoolisés et les produits « no-low » (comprendre : pas d’alcool-peu d’alcool) fleurissent dans l’Hexagone. Mais à quoi peut-on s’attendre dans son verre ? Ces vins « sans alcool » devraient nous ...
« Nous vivions à Paris, mon mari et moi avions des métiers privilégiés et une vie confortable », commence Virginie Aubrion. Autant dire une voie toute tracée. Sauf qu’il y a un peu plus d’une vingtaine d’années, ils ont décidé de s’affranchir de ce chemin un peu trop bien balisé. « Nous voulions nous occuper un peu de la terre, de faire du vin. Mais le premier projet que nous avions de reprendre… « Nous vivions à Paris, mon mari et moi avions des métiers privilégiés et une vie confortable ...