L'arôme de fumée dans le vin de Dagestan
Découvrez les vins de Dagestan révélant l'arôme de fumée lors de l'analyse olphactive (au nez) et lors de l'analyse gustative (en bouche).
La région viticole du Dagestan en Russie. Les caves et vignobles comme le Domaine Derbent Wine Company et le Domaine Derbent Wine Company y produisent principalement des vins effervescent, rouge et blanc. Les cépages les plus plantés dans la région du Dagestan sont les Riesling, Chardonnay et Cabernet-Sauvignon, ils sont alors utilisés dans les vins en assemblages ou en mono-cépage. Au nez du Dagestan révèle souvent des types d'arômes de sous-bois, fermenté (levuré) ou fruits (d'arbre fruitier).
Nous dénombrons actuellement 8 domaines et châteaux dans la région du Dagestan, produisant 59 vins différents en agriculture conventionnelle, bio et biodynamique. Les vins du Dagestan s'accordent généralement assez bien avec des plats de fruits de mer, apéritif et snacks ou poisson maigre.
Reims connaît la même effervescence que son vin. L’office du tourisme évoque 7,5 millions de visiteurs en 2023 dans la ville et les vignobles alentour, soit 50 % de plus qu’en 2022. Et les pèlerins de la bulle voient naturellement s’ouvrir à eux de nouvelles offres, dans des établissements de haut standing comme dans des comptoirs bon marché, qui réinventent l’accord mets-champagne en toute décontraction. La métamorphose la plus spectaculaire a lieu dans les grandes maisons viticoles. Face à l’a ...
Discrète mais passionnante, la Tunisie associe des paysages d’exception à des variétés internationales qui ont déjà fait leurs preuves sur le vieux continent. Vins rouges, vins rosés, vins blancs secs et liquoreux, place à une dégustation pleine de surprises ! La Tunisie : un trésor œnologique caché A l’instar de nombreuses autres régions viticoles du pourtour méditerranéen, c’est par les phéniciens que la vigne a été implantée en Tunisie. Les romains ont ensuite largement contribué à ...
Alicia Dorey, journaliste spécialisée dans le vin, Paris, le 4 octobre 2024. JULIE BALAGUé POUR M LE MAGAZINE DU MONDE « J’aime les langues, celles que l’on parle et celles qui se délient. J’avais pour ambition, plus jeune, de travailler dans la francophonie et la diplomatie. J’étais une élève très sérieuse mais, à l’âge de 15 ans, au lycée, j’ai senti qu’il me fallait couper avec mon cadre habituel. Je voulais partir apprendre l’anglais : l’Angleterre était trop proche, l’Australie trop loin. L ...