L'arôme de jeu dans le vin de Tarija

Découvrez les vins de Tarija révélant l'arôme de jeu lors de l'analyse olphactive (au nez) et lors de l'analyse gustative (en bouche).

Plus d'informations sur les arômes de Tarija

La région viticole du Tarija en Bolivie. Les caves et vignobles comme le Domaine Campos de Solana et le Domaine Aranjuez y produisent principalement des vins rouge, blanc et rosé. Les cépages les plus plantés dans la région du Tarija sont les Cabernet-Sauvignon, Tannat et Merlot, ils sont alors utilisés dans les vins en assemblages ou en mono-cépage. Au nez du Tarija révèle souvent des types d'arômes de boisé, mûre ou poivre et parfois aussi des arômes de fruit noir, fromage ou cèdre.

Nous dénombrons actuellement 18 domaines et châteaux dans la région du Tarija, produisant 122 vins différents en agriculture conventionnelle, bio et biodynamique. Les vins du Tarija s'accordent généralement assez bien avec des plats de boeuf, agneau ou gibier.

Actualités des arômes du vin

La vénérable maison de cognac Delamain célèbre son bicentenaire, on la pensait plus vieille !

Les vieilles dames sont coquettes. Elles cachent parfois leur âge. Prenez la maison de cognac Delamain à Jarnac, qui fête aujourd’hui son bicentenaire. En réalité, l’affaire a des origines bien plus anciennes, des racines plus profondes… Son fondateur, James Delamain (1738-1800), s’établit en France sous le règne de Louis XV. Ce huguenot fuyant l’Irlande se fixe à Jarnac en 1762, où il retrouve la terre d ...

Côtes de bourg : « Je mets les moyens pour faire du vin de qualité »

En 2019, Vincent Rouaix, 65 ans aujourd’hui, achetait Beaulieu, un château à bout de souffle qui écoulait l’essentiel de sa production en vrac auprès du négoce. Cinq ans après, le moins que l’on puisse dire est que le lieu a bien changé. Nous sommes en AOC côtes de Bourg, à 40 kilomètres au nord de Bordeaux. Les coteaux sont superbes et la propriété a fière allure. Autour du ch&ac ...

Les visages de la crise dans le vignoble bordelais : « J’ai plus d’un million d’euros de dettes »

« J’avais besoin de mettre des mots sur ce que je vis, d’arrêter de faire comme si tout allait bien. » Dans un long message posté sur Instagram le 16 septembre dernier, la viticultrice Amandine Noriega (43 ans) décrit les symptômes d’une profession en souffrance : les journées à rallonge, la crise bordelaise qui n’en finit pas, les aléas climatiques devenus banals… Jusqu’&agra ...