L'arôme de tropical dans le vin du Japon
Découvrez les vins du Japon révélant l'arôme de tropical lors de l'analyse olphactive (au nez) et lors de l'analyse gustative (en bouche).
Le Japon est célèbre pour son saké, un vin de riz, mais le vin de Raisin">raisin y est fabriqué depuis plusieurs centaines d'années, voire plus. La bière et le whisky ont également gagné une place dans la conscience des Japonais modernes, et sont même devenus des contributeurs importants de l'économie nationale.
La viticulture a une longue histoire au Japon, et il existe plusieurs histoires autour de ses origines. La plus répandue est qu'en 718 après J.
-C. , un moine bouddhiste nommé Gyoki a planté les premiers vignobles au temple Daizenji, près de Katsunuma (au Sud-Ouest de Tokyo).
Traditionnellement, la grande majorité des raisins du Japon n'étaient cultivés que pour être mangés, et peu ou pas de vin y était produit. Le vin européen a été importé pour l'élite japonaise pendant une grande partie du XVIe siècle, mais il a été interdit pendant une grande partie des XVIIe et XVIIIe siècles en vertu de la politique sakoku d'isolationnisme impérial.
Mais les choses ont rapidement changé au cours des dernières décennies. Dans les années 1970, l'intérêt des Japonais pour l'Occident (et le tourisme) a fortement augmenté. Naturellement, de nombreuses modes et traditions occidentales ont ainsi fait leur entrée au Japon, notamment dans les domaines de la nourriture et des boissons. La consommation de vin a explosé et, bien que l'accent ait été mis sur les vins importés, la production nationale de vin a naturellement augmenté en conséquence.
Un millésime de plus à se bagarrer avec le mildiou. Le parasite, desséchant les feuilles et abîmant les fruits, a frappé très tôt cette année dans les vignes girondines. Et les adeptes de la viticulture bio sont particulièrement mis à rude épreuve. Interdits d’utiliser des produits phytosanitaires, ils multiplient les traitements au cuivre (bouillie bordelaise), sans assurance d’y réchapper. L’&ea ...
Faut-il y percevoir une démonstration patente des effets du dérèglement climatique ? Entre sécheresse et canicule, le millésime 2022 a marqué les esprits. À l’inverse, le printemps 2023 s’est caractérisé par de fortes températures et de gros épisodes de pluie. Dans les vignes bordelaises, ce fut l’affolement. Le mildiou, ce parasite importé d’Amérique par mégarde au XIXe siècle, a pleinement profité de ce climat tropical inhabituel. La destruction annoncée des grappes laissait présager une produ ...
C’était plutôt mal barré. Après un printemps très pluvieux et un été presque tropical, la qualité du millésime 2023 dans le Bordelais s’annonçait pour le moins délicate. C’était sans compter sur le final estival, sec et chaud, qui a permis une bonne maturité des raisins délivrant, sur la ligne d’arrivée, une cuvée qui pourrait réserver quelques surprises. La dégustation en primeur, organisée ce jeudi au Grand hôtel par l’association Expression de Fronsac, réunissant douze propriétés des deux app ...